Le métro ne fonctionne plus sous la ville mais il est hanté par les couches les plus miséreuses de la population. Dealers de drogue, travailleur.se.s du sexe, personnes sans abri, tous se retrouvent ici dans une sorte de Cour des Miracles particulièrement dangereuse pour tous ceux qui n'en sont pas membres.
Les habitations des quartiers périphériques sont en grande partie des immeubles communistes qui ont connus des jours sinon meilleurs, du moins plus propres et moins délabrés. On n'y vit pas très bien, surtout en hiver, mais c'est toujours mieux qu'être à la rue.